Résumé :
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Paradoxalement, c'est le chant de la pensée élégiaque célébrant l'ouvert de la vie et l'intime combat avec la langue de l'indicible, qui fait le passage vers la prose d'Assia Djebar. Car c'est le portrait en vérité d'une écriture par le c ur qui se dessine dans ses textes. Tout lecteur de l' uvre comprend bientôt qu'il n'y a pour elle d'existence plénière que dans les rythmes cardiaques, au corps à c ur de la phase qui jette ses plus hauts cris - " cri ouvert ", spasme, hololugué, tzarl-rit, vociférations -, dont le débord organise des architectures textuelles raffinées, des vacances, des variations
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